Le décès du mis en cause interrompt l’action publique. Cette carte peut être posée à tout moment et abouti à la défausse de la réussite. Le décès du mis en cause est un mécanisme imparable d’échec à l’action publique. Certains délinquants malades ou âgés vont ainsi parfois faire preuve de manouvres dilatoires en multipliant les recours (appels, irrégularités, supplément d’information), et les demandes de délais pour gagner du temps et échapper ainsi à toute sanction. De la même manière (non reprise dans le cadre du jeu) la maladie peut permettre d’échapper à l’exécution de sa peine si l’incarcération n’est pas compatible avec le suivi médical qu’elle implique ou le respect de la dignité d’un condamné atteint d’une maladie grave comme un cancer.